Trois récits érotiques aussi excitants que féministes

Je partage avec vous trois extraits de mes écrits érotiques. Ils existent tous les trois en version plus longue, je vous dis à la fin de cet article où les trouver.  

Ces films que vous ne verrez jamais, Hold up 21

En octobre est sortie ma première nouvelle dans un (très) beau livre illustré par les photos d’Abigail Aupérin initulé Hold-up 21. En voici un petit bout — dont l’idée est venue d’une conversation avec Michael Petkov-Kleiner pour son livre Le rôle fondamental du plombier dans le porno ! Dans ce livre, vous pourrez aussi lire les nouvelles de Laure Giappiconi, Romy Alizée, Maïa Mazaurette, aXelle de Sade, Camille Emmanuelle…

“Un endroit paumé quelque part sur la diagonale du vide.

Quand on roule par là-bas, c’est plat, plat, plat, et puis d’un coup : il y a cette usine colossale qui apparaît. Grosse araignée toute en cheminées et tuyaux corrodés, elle n’en finit pas de s’étendre sur ses hectares de sol aride, derrière ses palissades et ses barbelés. Personne ne sait bien ce qu’on y fabrique, on n’y voit même pas un panache de fumée. Il paraît que tout ce qui est liquide dans la région passe par là, pour être… on se demande.  

Un jour, la sirène se déclenche à en faire siffler des acouphènes à des kilomètres à la ronde. En même temps, mon 3310 de boulot danse dans ma poche arrière. "Y a une fuite dans le conduit C 40. Magne-toi, les gars savent pas quoi faire". 

Je saute sur mon monocylindre et d’une détente dans le kick, j’arrive sur les lieux de l’incident, une cathédrale de conduits érigée en sous-sol. Tout le monde regarde en l’air : une artère de deux bons mètres de diamètre crache de l’eau pure à deux-cents litres seconde. Les gars sont trempés jusqu’à l’os et leurs t-shirts leur collent aux torses. Y a des poils dressés par la chair de poule et des tétons qui pointent. Je suis pro, attention, mais il y a des trucs que je ne peux pas ne pas remarquer. 

Tandis que je détermine quelle vanne refermer sans mettre toute l’usine à l’arrêt, les mecs me matent avec une drôle de lueur dans le regard. Je m’en fais pas trop, j’ai mon chalumeau à la ceinture, je les allume s’ils battent d’un cil. Au bout de deux trois minutes, c’est bon, j’ai la situation bien en main. Je pianote mon code d’accès sur le tableau central, je scanne l’empreinte de mon index gauche, je tourne à fond le volant de la vanne 27 00B. Torrent tonitruant, rivière, ruisseau, filet pitoyable, le débit se fait chuintement plaintif. Goutte, goutte, plop, puic, puis plus rien. J’ai stoppé la fuite. 

Les gars m’applaudissent comme si je venais de poser un avion de ligne sur un terrain de foot. On a de l’eau jusqu’aux genoux, mais ils tiennent à aller chercher des canettes de Kombucha pour trinquer à mon succès. On s’envoie quelques lampées, et pendant qu’il y en a deux qui me tchatchent sur mon matos, appliqués à prendre l’air impressionné, y en a d’autres un peu plus loin qui commencent une bataille d’eau. On tripote mes outils : "c’est une cercleuse ?", "oui oui", j’ai du mal à rester focus, ça gicle dans tous les sens, un gars se prend les pieds dans le croche patte d’un autre et s’étale de tout son long dans la flotte, la gaieté se répand comme une flammèche à la surface d’une flaque de pétrole, les t-shirts sautent pour aller claquer les peaux mouillées.

Une gerbe d’eau en plein dans mon visage. Un jeune mec torse nu me dévisage, hilare, son casque de chantier arrosoir à la main. L’autre main se tend vers moi : " Viens" Je décline, c’est tentant, mais je suis sur mon lieu de travail, merde, je vais pas tout mélanger. Une clameur cabriole sur les parois de la salle, y en a trois qui se sont mis en sous-vêtements, et je découvre qu’ils ont des slips aux couleurs de l’usine, bien moulants, sans doute pour les soutenir dans les situations extrêmes, quand la pression monte, quand les boyaux tremblent sous les hectopascals, quand ça flue et ça reflue et ça vibre de chaleur, quand les peaux deviennent moites, les mains glissantes. 

L’un des trois mecs en slip a pris mon huile de coupe. Il s’en bombe tout le corps et les deux autres se mettent à lui masser le ventre, lui agacer les tétons. Ça rigole, d’un rire bourré de testostérone, et puis un silence, comme quand on goûte et que c’est super bon, tout le monde ferme sa gueule et le mec aux tétons offerts sort un soupir du fond de son diaphragme, les autres sont maintenant hyper concentrés sur ce qu’ils font, ils se mordent les lèvres, ils froncent les sourcils, on dirait qu’ils sont en train de faire de la micro soudure sur les zones érogènes de leur pote, le pote se fend en un geignement déchirant, il se passe pas longtemps avant qu’ils sortent sa bite du slip, et je dois dire qu’elle est jolie comme tout, c’est un petit format monochrome et velouté, quelques poils mousseux au-dessus et au-dessous des couilles bien plaquées au périnée. Le propriétaire du pénis me lance des coups d’œil par en-dessous, les deux autres attaquent une branlette à quatre mains façon turbine. 

Je commence à transpirer, j’ai les ailes du nez et la lèvre supérieure qui perlent, j’essaie de regarder ailleurs, j’ai l’œil qui tombe sur un petit groupe qui joue avec ma ventouse géante, ça se succionne le gros ventre, les fesses rebondies, les plops, les smacks font écho entre mes tempes, quand par-delà les sons mats de leurs chairs, j’entends mon nom, j’arrive à grand peine à tourner la tête, derrière une des méga-tubulures, une ribambelle de mecs m’appelle, ils se sont attachés les bras en l’air aux gouttières, leurs poignets joints par mes serres câbles, leurs queues pointées à 135 degrés, leurs aisselles humides me regardent dans les yeux…”

Arsène partout partout, Voxxx

Entre 2018 et 2019, j’ai beaucoup écrit pour Voxxx, avant de commissionner des autrices et quelques auteurs en 2020, puis de laisser les rênes après un gros burn out à Lélé. Je suis très fière de cet épisode réalisé par l’artiste sonore Antoine Bertin. Le binaural rend l’expérience immersive, et le son permet un fantasme à la fois palpable et surréaliste.  La voix qui interprète la version audio de ce texte est celle d’Arsène Laclos, qui apparaît aussi dans Une dernière fois ! 

“ Arsène : — Allonge-toi sur le dos. Oui, nue :)

Toute nue :) Allonge-toi dans ce rayon de soleil qui tombe sur ton lit et y dessine un carré de tiédeur. Ferme les yeux… Respire… Ils chauffent doucement ta peau, ce soleil d’automne, et mes yeux sur ton corps. Je te couvre du regard, je t’enveloppe de toute mon envie de te faire du bien. J’aimerais pouvoir te toucher comme je te regarde, tu sais. Toute entière, avec une infinie douceur.  J’aimerais être partout sur toi, sous toi, autour de toi...

Je vais te MASSER, tu veux ? Je vais te masser toute entière. 

(la voix semble plus lointaine, il est à ses pieds) Est-ce que je commence par te masser la plante des pieds ? 

(un temps)

(tout proche) Ou est-ce que je commence par te masser le crâne, le front, la nuque...

Ou est-ce que je ne choisis pas…

Arsène (qui se dédouble, ses deux voix en chœur) : Et est-ce que je commence ce massage par ta tête ET les pieds ? :)

Arsène 1 : Je m’assois en tailleur et je pose ta tête sur mes cuisses. Je te caresse les cheveux… j’effleure ton front, tes joues...

Arsène 2 :  (il prend le temps de frotter les paumes de ses mains l’une contre l’autre) Moi, je m’accroupis à tes pieds et je serre doucement tes chevilles dans mes mains chaudes 

(il masse ses pieds et on entend des sons ecs mais doux de peau, tandis qu’Arsène 1 reprend)

Arsène 1 : Je masse tes tempes de mes index et majeurs bien serrés, en petits cercles précis. Je pose mes pouces à la base de tes sourcils, là où ils rencontrent la naissance de ton nez. Je presse doucement, et j’attends. Respire... Ton visage se détend… C’est beau de te voir lâcher prise… Hmmmm… Je te veux rien que pour moi. 

Arsène 2 : Mais il n’y a pas une partie de ton corps adoré qui ne mérite pas qu’on s’en occupe. Chaque partie de ton corps mérite un Arsène qui s’occupe d’elle avec amour, tu entends ? 

Arsène 1 : Moi, pour toi, je me dédouble, tu vois ! Je suis ici, je caresse tes lèvres avec mon pouce.

Arsène 2 : Et je suis aussi là, à tes pieds. J’embrasse tes orteils un à un, avec dévotion. Si je m’écoutais je les sucerais. 

Arsène 1 : Écoute-toi :)

Arsène 2 : Ouais… Mmmm… 

(Sons d’orteils sucés qui continuent tandis qu’Arsène 1 se remet à parler) 

Arsène 1 : J’aimerais que tu lèches mon pouce. 

Oui… comme ça… 

Je masse tes lèvres avec mon pouce mouillé. 

Mmmm ça me donne envie de plus, ça !

Ça me donne envie que tu suces mes doigts, en plantant tes yeux dans les miens. Ne regarde que moi, pendant que mon second moi remonte le long de tes jambes...

Arsène 2 : Oui vous occupez pas de moi, je suis bien, là… Je suis vraiment bien… Je te masse les cuisses à pleines mains, je pétris ta chair, j’y vais fort grrrr

Arsène 1 : Je sens que tu as envie qu’un troisième Arsène nous rejoigne. mmm ? Oui… C’est ce que je pensais... Embrasse-moi 

(son de baiser en premier plan qui se poursuit sur les répliques suivantes)

Arsène 3 : (au-dessus d’elle, chuchoté) Salut, tes seins… Comment vous allez, les seins ? Mmmm, vous avez l’air d’aller plutôt pas mal :)  Mes cheveux ont envie de vous dire bonjour. (sons de cheveux sur la peau) Mes lèvres aussi. 

(sons de baisers) Je joue à passer sur tes tétons furtivement pour qu’ils se dressent.

Arsène 2 : Pose tes pieds sur mes épaules. (grand sourire) Je vois ton sexe. Et ton sexe me regarde :) Ça m’excite tellement… ton sexe, au premier plan. Et derrière je nous vois nous occuper de toi. Ils sont bons, mes autres moi, non ? Tu préfères lequel d’entre nous ? Celui qui s’occupe de tes seins ? Celui qui t’embrasse ?

Arsène 1 : Shhh… Laisse-la profiter… (à elle de nouveau) Je lèche tes lèvres. Viens, suce ma langue.

Arsène 2 : Je masse l’arrière de tes cuisses. Je sens que t’as envie que je remonte  :) Tes fesses et ton dos sont jaloux, non ? 

Arsène 3 :  J’empoigne tes seins à pleines mains, je les embrasse, MmmmGRrMmmm 

(son de baisers et respiration profondes)

Arsène 2 : T’as vu comme on donne tout pour toi, tous les trois ?

Arsène 1 : (en riant) Mais on ne lui suffit pas ! 

(tapant dans ses mains) Un quatrième Arsène, s’il vous plaît 

Arsène 4 : (derrière elle) Coucou toi :) Je me colle derrière toi. Tu sens la chaleur de ma peau contre la tienne ? Mon torse caresse ton dos. C’est doux… Ho que c’est doux… 

Arsène 1 : Doux, c’est doux, comme je pose ma main sur ton cou… Je veux sentir sur la pulpe de mes doigts le sang battre dans tes veines

Arsène 4 : Je masse tes omoplates, j’aime sentir mes pouces s’enfoncer dans ta chair

Arsène 2 : Rhaaa j’ai tellement envie de te manger ! Je mords l’intérieur de tes cuisses… (sons de baisers) tendrement, hein… TRRRRès tendrement...

Arsène 4 : J’empoigne tes fesses, je serrrrrrre… il est incroyable, ton cul !

Arsène 3 : Je pose mes mains sur tes côtes, je veux sentir ta respiration s’emballer, (joignant le geste à la parole) je veux inspirer et expirer en rythme avec toi

Arsène 1 : (dans un souffle) Ho oui…Fais-moi inspirer l’air que tu expires… Souffle dans ma bouche

Arsène 4 : Mmmmm C’est tellement bon qu’on décolle. 

Arsène 1 :  On flotte ! 

Arsène 2 : Lévitation ! ”

Victor et Hafzia, L’appli Rose

J’ai écrit deux saisons de l’Appli Rose avec Alexandra Cismondi en 2018 et 2019. C’est une fiction audio qui m’a été commandée par Audible, et ça a fait un carton ! On en a fait deux saisons ensemble. Le concept de la série : des conversations au téléphone entre des inconnu.e.s. Je vous livre un extrait du premier épisode de la première saison. On prend la conversation en cours, quand on passe aux choses sérieuses !

“ Hafzia : T’aimes quoi ? 

Victor : Ouhla. Attends… Moi je… attends. 

(Il se lève, on l’entend retourner à la porte et la fermer, à clé cette fois)

Hafzia : Mais tu fais quoi ??

Victor : J’ai pas l’habitude.

Hafzia : De quoi ? De parler de sexe ?

Victor : Non c’est pas ça que… 

Hafzia : C’est quand la dernière fois que t’as flirté au telephone ? 

Victor : J’ai pas… non mais je travaille beaucoup. Ça fait longtemps que.. 

Hafzia : T’es un work addict quoi. 

Victor : Ah ah. Si tu veux. 

Hafzia : Et tu veux pas travailler un peu avec moi ? 

Victor : Je sais pas trop comment… 

Hafzia : Genre “plaider ma cause”... “te pencher sur mon doss”...

Victor : (éclat de rire) AHAHAH ! Non mais j’ai jamais fait ça moi.

Hafzia : Pff. N’importe quoi. T’as une voix trop jolie pour qu’elle passe ses soirées seule. 

Victor : Et pourtant...

Hafzia : Elles sont comment tes mains ? 

Victor : (on l’imagine regarder ses mains) Euh.. Grandes. 

Hafzia : Elle sont chaudes ? 

Victor :

Hafzia : Mets les sur ton ventre pour voir. 

Victor : Je sais pas si ce sont mes mains qui sont chaudes ou si c’est mon ventre... mais…

Hafzia : T’as chaud ?

Victor : Oui…

Hafzia : Moi aussi…

Victor : ...

Hafzia : On enlève nos robes ? (Elle rit)

Victor : (sérieux) Tu m’apprends ? Si y a bien un truc que je sais faire c’est le bon élève. Apprends moi, je te suis. 

Hafzia : Jusqu’où ? 

Victor : Je sais pas, c’est toi le guide.

Hafzia : Hum… J’aime bien. Moi j’ai le ventre qui se serre et j’ai déjà les cuisses trempées... 

Victor : Ah ouais direct.

Hafzia : Bah oui. T’aimes pas…?

Victor : Ah si. J’aime. J’aime même vraiment beaucoup les femmes qui, qui... enfin qui... 

Hafzia : Mouillent ?

Victor : Oui. 

Hafzia : T’aimes les femmes qui mouillent beaucoup ? 

Victor : Oui. 

Hafzia : ... t’es bien tombé.

Victor : C’est vrai ? 

Hafzia : Oui.

Victor : T’es… T’es mouillée là ? 

Hafzia : Oui. Très.

Victor : Hum :)

Hafzia : Parle-moi de toi. De ta queue. Elle est contre toi là ? 

Victor :

Hafzia : Allez, dégrafe ton pantalon ! Je veux l’entendre sortir. 

Victor fait entendre le bruit de sa ceinture qui voltige, puis le zip de son pantalon de costume.

Victor : Et toi t’es… enfin tu…

Hafzia : Je suis sur mon lit. Je suis assise sur mes talons, avec les cuisses bien écartées. J’aime bien cette position, tu vois, parce que je peux bien me cambrer et me toucher par devant ou par derrière… Ou les deux.

Victor : J’imagine très bien. Tu es… nue, là ? 

Hafzia : J’ai gardé mon T-shirt. Je sens mes tétons se tendre sous le coton. Ils deviennent sensibles… et dès que je bouge un peu, ils se frottent au tissu, j’aime bien la sensation. (un temps) Ça m’excite. 

Victor : Ouf…

Hafzia : Tu fais quoi ? 

Victor : Là ? Bah… je passe ma main le long de mon sexe. Je la glisse à l'intérieur de mon caleçon. Et… je suis dur. 

Hafzia : Ton autre main pourrait venir se mettre juste sous mon cul, tu veux… ? 

Victor : Mmmm… 

Hafzia : Moi je veux. Je veux… (on l’entend imaginer avec délice) que ton majeur et ton index caressent lentement la peau entre mes fesses… puis descendent, descendent… et parcourent chaque millimètre de cette peau fine... et chaude... Tu la sens sous tes doigts ?

Victor : Oui, continue...

Hafzia : Ils sentent le relief de mon anus, et ils passent, sans s’y arrêter…Ils continuent...  jusqu’à trouver les lèvres toutes gonflées, les poils, et la chaleur ruisselante de ma chatte. (elle gémit un peu de plaisir, on comprend qu’elle commence à se masturber) Tu sens comme c’est chaud ? Et mouillé ?

Victor : Oui oui je sens… Je suis juste derrière toi. Je respire l’odeur de ta nuque, et je plonge mes deux doigts au fond de toi… je les enfonce et je reste là. Tu aimes ça ? 

Hafzia : Oui… J’en avais très envie...

Victor : Je lâche ma verge. Et avec ma main libre, je viens presser mon pouce sur ton anus. Je fais des petits cercles dessus. 

Hafzia : Rhaaa c’est trop bon quand ça me prend de partout… Ma main à moi.... tire la peau de mon pubis vers le haut pour bien dégager le clito. Et l’autre fait des petit va et viens dessus, en diagonale… Mmmmmm…. ….Attends il faut que je me calme sinon je vais venir trop vite !! Je veux pas que t’aies une jouisseuse précoce pour ton premier coup au téléphone !

Victor : Qui t’a dit que c’était le premier ???

Hafzia : Heu… (rit)

Victor : Bon OK haha ! C’est pas mal qu’on fasse une pause. J’ai envie de me mettre à l’aise moi aussi. 

Victor fait claquer son caleçon. On l’entend se lever de son siège en cuir.

Victor : T’entends ? (bruit de sa queue qui tape sur le bois clair du bureau) 

Hafzia : Oui.. (elle se mord les lèvres)

Victor : C’est ma queue qui frappe sur le bois de mon bureau. Et ça me dérangerait pas de la claquer sur tes reins. 

Hafzia : (joueuse) Attends.. Pas si vite, Victor… Qui a dit que je te donnais mes reins ? 

Victor : D’accord… Je vais où alors ? 

Hafzia : Glisse ta queue dans ta main et raconte-moi. Raconte-moi tout. 

Victor : Tu veux que je te dise comment je me masturbe ? 

Hafzia : Oui… Je veux savoir comment vous vous faites jouir, Maître. 

Victor : Maître… :) Je peux te dire un truc ?

Hafzia : Oui… 

Victor : J’aime ma queue.”

 
Voilà ! Pour découvrir ces récits intégralement, vous pouvez acheter Hold-Up 21, vous abonner à Voxxx ou encore acheter l’Appli Rose saison 1 et saison 2 sur le site d’Audible. Et vous ? Avez-vous déjà essayé d’écrire vos propres récits érotiques ? Coucher ses envies sur le papier est stimulant pour la découverte de soi, pour la libido en période hivernale, et pour la communication entre partenaires. Ça vous tenterait comme expérience ?

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