Attention : contenu réservé aux adultes. Cette bande annonce comprend des plans classés X. Ne lancez la lecture que si vous avez + de 18 ans.

Don’t Call Me A Dick

Dick, cunt, ass hole... Pourquoi ces mots sont-ils des insultes, alors qu’ils désignent des parties du corps qui peuvent nous offrir des merveilles de plaisir ? Don't Call Me A Dick est une invitation poétique à ré imaginer le sexe filmé. Sans tabou ni sensationnalisme, ce film tourné en macro et en ultra slow mo ( jusqu'à 1000 ips !) offre un nouveau regard sur la beauté du sexe en général, et des sexes en particulier.

Le Poème à l’origine du film

Le film est une mise en image d’un poème que j’ai écrit quand je vivais à Berlin. Je voulais que les strophes soient les paroles d’une chanson. Elles sont finalement devenues un pied de nez aux gros plans cliniques du porno mainstream.

Don’t call me a dick,
a dick is the most beautiful thing in the world,
an inflatable miracle
a forever jumping whale,
the softest hardness,
a shot of he-roin,
sometimes a vulnerable caterpillar,
or a sleeping mole,
sometimes a volcano spitting cloudy emotions,
your very own milky way generator,
or even that mythical eleventh finger
that knows exactly how to tickle loving feelings.
Don't call anyone a dick,
dicks are God, worship them.

Don't call me a cunt,
a cunt is the first wonder of the universe,
a big bang of tenderness, a primordial embrace,
a black star that sucks all the Cold and the Sad
in this Mans’ world
and squirts back geysers of forgiveness.
A cunt is the ultimate « yes »
it has no thorns, no teeth,
When it is happy… it cries,
and its tears have the sweet taste of Grace.
If divine had a visage,
it would be a cunt,
and its glorious wholeness would spit in Freud’s face,
Worship cunts,
’cause without cunts you’d just be an asshole lost in the wind.

Don’t call me an asshole,
an asshole is the alpha and the omega of pleasure,
a surprise-kiss, an unexpected wink,
a modest tiny door to over the rainbow.
Knock knock… it blushes,
and a passage opens tenderly,
to offer a glimpse of la vie en rose.
Its slow glowing dilatation
is a delightful remembrance of our animal condition…
aren’t we just wonderful worms,
extraordinary shit machines?
Timid roses, azaleas, wilted violets or sakuras,
the assholes bloom for me and you.
Cherish them as your Pantheon,
and the most precious of all compliments.

Les avis sur Don’t Call me a dick

Wow, c’est peut-être l’un des films les plus érotiques que j’aie jamais vus. Bravo à vous tous.
— bucketlist
Ce film est de l’art pur.
— Cosmo2503
Une véritable œuvre d’art !
— Romeoisbleeding
D’une beauté époustouflante ! J’aime vraiment chaque moment de ce film. Nos corps sont magnifiques et encore plus beaux ensemble.
— Heaven

Un film produit par Erika Lust

Erika Lust est une réalisatrice suédoise de films érotiques et pornographiques. Elle est reconnue pour ses films qui mettent en lumière la sexualité féminine et le désir, et sont produits selon des standards respectueux du bien-être des performers.

Regarder Don’t Call Me A Dick

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